Dossier de Presse
géographies interieures
association ex.C.es
conception & réalisation :
lauriane houbey & marie moreau
prise de son & montage sonore
Myrtille Adenot & Anne-Laure Pigache
du 13 octobre au 1er décembre 2012 prolongation jusqu’au jeudi 20 décembre.
Vernissage vendredi 12 octobre à 18h
journées de lart contemporain samedi 13 & dimanche 14 octobre
LAAB#4 jeudi 22 novembre à 18h
dévernissage jeudi 20 décembre à 18h
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 2
Marie Moreau : Au début, il y a le désir de réaliser des travaux
qui s’articulent à des lieux d’accueil - sanitaires et sociaux - qui
ont une histoire et une action qui mimportent à Grenoble.
Il y a aussi ces diérentes collaborations avec Lauriane autour
du paysage, du territoire grenoblois. Et cette histoire
commune, celle des occupations d’espaces -squats-, qui s’est
soldée par une chronique d’expulsions. Une opération de mise
sous silence. Et qui sopère aujourd’hui encore. La ville m’est
alors apparue comme une coquille creuse. En tout cas, c’est
comme ça, un temps, que je l’ai vécu. Désenchantée.
J’ai eu besoin de trouver des
espaces-ressources
, comme
des restes de terrains vagues, des passages, des zones non
exploitées où il est encore possible de âner, de se perdre, de
rêver.
Lauriane Houbey : Pour ma part, j’ai besoin, pour ne pas
tourner en rond, de me sentir face à des brèches de sensible.
Les
espaces-ressources
sont des imaginaires-ressources. Des
environnements où tout nest pas encore tracé, écrit, ou bien
des zones où je sens que d’autres personnes en ont dautres
usages que moi, ou des zones qui nont peut-être pas d’usage,
non-aectées. Non-aectées au sens fonctionnel comme au
sens esthétique du terme.
M.M : Le euve Drac nous a permis ça à un moment. «Lenvers
des villes», dont j’avais la sensation d’avoir été crachée.
L.H : Oui, d’
cette expédition draconienne
pour explorer
ces abords et les îles du euve : ces
envers de villes
. Vivre une
expédition urbaine et péri-urbaine. Etre ici, chez nous, avec
une autre curiosité, reconsidérer l’existence de nouvelles zones
inconnues. Cette expédition réunissait des artistes et des
marcheurs (du documentaire, de la danse, de l’architecture,
de la sculpture, de la carte) et nous avons marché ensemble
dans le lit du euve, protant de nos expertises et de nos
sensibilités respectives pour explorer cet environnement,
rencontrer ses habitant.e.s et ses usager.e.s.
M.M : Plus tard en 2010, nous sommes à nouveau entrées
en-quête dans cette gueule urbaine, en cherchant des refuges
et des itinéraires qui ne nous coupent pas de ces envers que
nous aectionnons et qui donnent du sens à rester, aussi parce
que plusieurs initiatives urbaines nous redonnaient du désir.
Ces itinéraires reliaient des lieux, des collectifs, des projets et
dessinaient des «Constellations Urbaines». Une des marches
s’est faite depuis des refuges de Chartreuse jusqu’à des centres
sociaux et des regroupements d’habitants.
Suite à cette expérience, jai eu envie de travailler plus en
relation et dans le temps avec certains des lieux d’accueil. Voilà
comment, maintenant, je vais à Point d’eau et au Fournil.
Ce qui est précieux c’est quon me laisse essayer. Les usagers,
les convives, les bénévoles, les salariés mobservent aménager
un espace, du temps. Parfois certains appareillent à ce que je
fabrique, parfois je m’appareille à ce quils fabriquent ou ce qui
se fabrique là. En tout cas, il s’agit de s’échapper.
topologie
7 septembre 2012
La Fuite du Paysage-l’Envers des Villes
2008 - 2010
Constellations Urbaines
2010
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 3Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 2
L.H : C’est suite à ces «Constellations Urbaines» et à ces
rencontres que nous avons mis en place la
plateforme
Art&Social.
C’est avant tout un support qui nous permet de
rencontrer des situations sociales, des réalités, des sensibilités
spéciques. Un outil pour explorer la diversité des esthétiques
du monde, parce que la manière dont nous sentons,
percevons, sommes touchés, est un endroit fort de
construction / transformation des aects, on pourrait dire un
endroit d’action politique.
C’est un enjeu d’échange d’expertises, qui passe d’abord par
la reconnaissance des expertises de chacun et chacune. Entre
artistes et travailleurs sociaux, entre usagers de la ville, entre
artistes du sonore, du visuel et de la chorégraphie, entre Marie
et moi et nos approches.
M.M : Un jeu d’échappée qui vient par la réciprocité. Je pense à
Vassili, que je rencontre aussi dans mon quartier. Un matin,
il était à Point deau. Je me suis assise à côté de lui. Comme
à chaque fois que je vais là-bas, j’avais installé des nappes,
quelques stylos, du l à coudre, les toiles cartographiées
précédemment… J’avais un drap de petite taille et mon feutre.
Vassili fabriquait un lance-pierre. Pour accrocher le caoutchouc
au cuir il faut être deux, je lui ai donné la main, et puis j’ai
dessiné ce très bel objet. De là, il m’a donné la main pour
dessiner le territoire, ses paysages.
Ces dessins sont des fragments cartographiques de leurs, de
nos expériences, il y a des géographies multiples dans cette
ville, des géographies qui s’accordent avec des territoires et
des Histoires dans lesquelles il y a un désir, celui de se frayer
un chemin.
Relever un itinéraire, esquisser une carte, ça nest pas pour
autant dresser un cadastre, ni ger des relations, ni chercher à
capter une indiscernable identité. Les cartes ne sont pas des
instruments d’observation. Cesont des instruments
d’évacuation. Evacuation et vivier du langage, de gestes, de
mémoires.
L.H : Le fait d’être artiste du paysage mais aussi danseuse
fait que je suis toujours à l’aût, curieuse, extrêmement, des
rapports qu’entretiennent d’autres corps à des espaces que j’ai
arpentés mille et une fois. Il y a des lectures du sol, du terrain
que je peine à envisager, des mondes que je ne connais pas
parce que ça nest pas ma vie. Et des réalités sociales que je ne
connais pas non plus, ou seulement dans les grandes lignes et
donc sans la place d’une relation particulière, d’une rencontre.
Ces zones d’inconnu génèrent des désirs d’investigation du
territoire, de l’environnement, du proche.
Plateforme art & social
Réciprocité
Désirs d’investigation
Territoire
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 4
Aussi, il y a des esthétiques et des économies de l’habitat qui
me touchent parce qu’elles se permettent d’inventer, en les
investissant, des espaces qui, a priori, ne sont pas destinés à
de l’habitation: installation de caravanes ou habitats mobiles
en ville, aménagement de grottes, tunnels, abris, construction
de cabanes, occupation de bâtiments abandonnés. Autant de
formes qui posent des questions qui nous concernent tous :
habiter ça commence où ? Par une porte que je peux fermer
ou ouvrir ? Par un «toit» pour me protéger de la pluie ? Par des
«murs» qui mentourent, quels quen soient les matériaux ? Par
une zone, un endroit où je me sens «chez moi» ? quartier, ter-
rain, rue, voisinage…
J’ai eu envie de travailler avec ces personnes, parce que leur
relation au mouvement, à l’espace, au terrain, au présent et à
l’imaginaire éveillait ma curiosité et un désir de connaissance
et de rencontre. A l’instar des Maraudes sanitaires et sociales,
j’ai choisi de mener un Atelier Mobile pour cartographier
des territoires du quotidien. J’ai eu besoin d’arpenter la ville,
son bitume, pour arpenter ces imaginaires… J’ai eu besoin
d’arpenter ces Lieux-dits, ces Lieux-dessinés, d’aller vers, de
mettre à l’épreuve mon propre rapport à l’espace, à l’image,
aux images.
M.M : En fait, une fois que tu commences à faire, à réaliser
avec des situations comme celles-ci, je trouve que ça devient
dicile d’imaginer des objets ou des dispositifs ou même de
la pensée sans se mouiller, être touchées, remises en question,
perdues du fait de ces réciprocités.
M.M : Quand j’ai commencé à imaginer ce projet de
cartographier les itinéraires, les chemins empruntés, les lignes
de rêves à l’échelle des pourtours de Point d’eau, du Fournil,
de Grenoble, de Rhône-Alpes, des alpes, du pourtour
méditerranéen, de l’Afrique, de l’Europe… etc., aussi loin qu’un
trait se souvienne de ce que son auteur a parcouru comme
chemin, j’avais en tête les récits de Sarah, qui travaille au
Fournil depuis longtemps. Elle racontait comment à la n
des repas, les gens restaient parfois, et pour se comprendre,
poussaient les assiettes et les verres et sur les sets de tables
parsemés de viande, de gras, de grains… un dessin de leur
monde se levait et se lève encore parce que c’est une pratique
quotidienne au Fournil.
Ces histoires mont donnée envie de donner à ces cartes une
Rencontrer un monde
des mondes
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 5Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 4
temporalité plus longue qu’une conversation d’après le repas
et un public plus large.
Pour moi Sarah, comme Pascal et Candice à Point d’eau sont
des passeurs, ils sont dans ces institutions depuis tellement
longtemps.
L.H : Pour ma part, je crois que je rencontre un monde, non pas
via des passeurs, mais via un canevas, quelque chose d’un peu
immatériel…
Le canevas tracé par le projet qu’on a monté, le canevas de ma
curiosité envers ces interlocuteurs et leurs réalités. Forcément
c’est quelque chose d’assez subjectif, ce sont d’abord
mes imaginaires, mes présupposés qui viennent tracer les
contours d’un univers, d’une réalité sociale, puis ces lignes se
démultiplient, le monde se complexie, devient une série de
mondes, de sensibilités.
M.M : Ensuite, quand le travail commence, ça nest jamais
comme on t’a raconté, comme tu as imaginé, il ne se passe pas ce
pourquoi ton désir sest constitué en projet et t’a amené
jusque-là.
Au Fournil, comme à Point d’Eau, quand tu arrives, c’est un
monde. Et très vite il manque quelqu’un à qui s’accrocher à
cause de l’étourdissement de ce monde. En demandant aux
gens s’ils peuvent me dessiner où l’on est, par où ils entrent
dans cette ville… je cherche un, des auteurs.
Celui, celle qui va dire. Dessiner le lieu.
M.M : Par exemple, quand j’ai rencontré Alpha et quil a dessiné
la ville sur un set de table au Fournil, son dessin était tellement
étrange pour moi, tellement intriguant, dans la facture,
dans sa géographie, que je lui ai demandé s’il pouvait
encore me dessiner la ville, plus loin, en collant un autre set de
table et comme ça à quatre reprises jusqu’à ce qu’il sen aille.
Cette carte, celle d’Alpha, me fait penser au tapis, au monde
miniaturisé grâce auquel on peut se balader sans voir le temps
passer. Il y a quelque chose de l’ordre d’un détachement au
réel, une apesanteur alors que lon ne cesse de faire des allers-
retours entre sa propre expérience du territoire ou descartes
d’atlas et ce plan qui prend notre regard et notre esprit.
L.H : Finalement, ce qui se dessine est très variable. Le l, ça
pourrait être des extraits de villes, de zones qui s’articulent
toujours avec ici ou là, maintenant ou avant.
Notre localité.
M.M : Oui, notre localité géographique, et puis une autre
localité, plus intime, quelque chose qui chemine en nous et
entre nous, mais je ne sais pas ce que c’est.
Qu’est-ce qui se dessine?
Lieux dits
Lieux dessinés
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 6
plateforme art & social ex.c.es.
Lauriane Houbey
Plasticienne, exploratrice, elle investigue
diérentes approches cartographiques des territoires.
Menées sous forme d’ateliers mobiles, ces arpentages
collectifs, perceptifs et topographiques, sont autant
d’interprétations de terrains qui se meuvent en chorégraphies
improvisées.
Elle a participé à diverses expéditions péri-urbaines et
uviales, a organisé des colloques mobiles et prend part à des
projets de micro-urbanisme participatif.
Elle s’engage dans des projets tissant enjeux du collectif et
élaboration d’un penser et d’un mouvoir ensemble. Elle est
formée en danse contemporaine au Conservatoire National
de Région, ainsi qu’auprès de nombreux chorégraphes et
improvisateurs.
Elle a également suivi diérentes formations à l’image et au
son. Elle mène une recherche sur les liens entre partition en
danse et cartographie des territoires.
Marie Moreau
Vidéaste, aventurière, sculpteuse.
Marie Moreau approche le réel grace à l’esthétique et
l’esthétique grace au réel. Ses installations, ses lms, ses
performances lèvent les questions de l’errance, des non-
lieux, des terrains vagues et autres espaces oubliés, cachés,
possibles. Ne faisant pas l’économie de la anerie, de l’attente,
de la perte et des rencontres, Marie Moreau guette,
débusque en même temps quelle se laisse prendre au jeux des
protagonistes et des contextes avec lesquels elle oeuvre.
Chacune des réalisation prend la forme d’une quête, comme
un voyage au quotidien, une fresque épique, un dépaysemant
local.
En 2002, elle fonde à Bordeaux «syndicat d’initiatives» bureau
d’enquête et de diusion à la croisée du politique et de
l’esthétique. Depuis 2007, elle est membre fondatrice de
l’assocaition ex.C.es et intervient dans diérents secteurs
(école d’art et Centres sociaux). Depuis 2011, elle travaille à la
réalisation d’un essai documentaire «Quelque chose en nous
s’est endormi » produit par KingdomProduction.
http://moromari.free.fr/BDD/
http://syndicatinitiatives.free.fr/
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 7Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 6
Artistes invitées
Myrtille Adenot
Depuis maintenant plusieurs années, Myrtille Adenot travaille
la matière sonore de manière individuelle et collective.
Elle part de lidée que façonner le son nous permet
d’apprendre à le décrypter, à le transformer et à l’organiser,
selon nos envies, nos messages, et l’univers sonore que l’on
souhaite partager avec les autres.
Sa pratique du son est variée : création sonore (documentaires
radiophoniques, émissions de radio, cartes postales sonores,
interviews, ambiances), mise en place d’ateliers pédagogiques
à destination des enfants, des adolescents et des adultes
(initiatrice des Ateliers Acouphènes), pratique technique
(autoformation,stages, technique radio).
Anne Laure Pigache
Performeuse, vocaliste, artiste sonore Autodidacte, cest au
travers de ses multiples collaborations que Anne Laure Pigache
explore de vastes champs artistique depuis 1998. Tout d’abord
comédienne pour le théâtre, elle y a exploré particulièrement
l’outil vocal comme outil de scène, de performance puis
comme principal outil de pièce sonore performée ou
enregistrée.
Elle est aujourd’hui vocaliste, improvisatrice et auteure de
pièces de poésies sonores.
Dans son travail, elle explore la lisière entre son et sens et la
dimension sonore de la parole et du langage.
Elle joue depuis 2008 une pièce de poésie sonore «Dyslexie»
où, en parallèle de ses propres textes, elle détourne des
articles de journaux jouant avec la musicalité de la parole et les
failles du langages comme propositions musicales ou sonores.
Son écriture est avant tout sonore, basée sur la répétition et la
déformation des mots.
Elle entame en 2012 un travail sur les typologies du parlé et
leurs potentiels choral et musical. Elle a collaboré également
pendant plusieurs années avec le collectif Ici Même [gr], la Cie
Jeanne Simone, le collectif Un Euro ne fait pas le printemps.
Au sein de ces diérentes collaborations, elle a exploré la
présence performative dans l’espace public tout autant que la
dérive comme outils d’exploration de ces espaces.
Elle y a exploré le rapport au sonore, les notions de publics,
diérents dispositifs de présence, de perfomance ou de
représentations. Elle travaille la voix comme matière
corporelle et musicale depuis une dizaine d’années.
Performeuse, elle pratique l’improvisation dans le registre des
musiques dites «improvisées» à savoir musiques bruitistes,
expérimentales, improvisation libre et registre contemporain.
Elle chante dans plusieurs formations de musiques
improvisées. Elle compose des pièces vocales, mêlant
partitions graphiques et jeux d’improvisations.
Elle a également une pratique régulière du mouvement dansé
et chorégraphique comme point d’appui et d’élan pour
ré-actualiser un état d’improvisation, d’écoute et de présence
aux espaces parcourus et aux rencontres traversées lors de son
travail sonore. Elle a collaboré avec Laure Terrier, Isabelle Uski,
Nicolas Hubert, Lionel Palun, Jackie Taanel, Delphine Dolce,
La Cie songes, Julie Serpinet, Judith Thiébaud...
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 8
Octobre 2011. work shop Ecole Supérieure d’Art et de De-
sign de Grenoble : «37KM ENVIRON»
Expédition_Exposition_Vidéo.
Janvier 2010. Interventions vidéo-exploratoires.
partenaires: Groupe d’Entraide Mutuel, G.E.M et C.A.S.A.
Avignon.
Association ex.C.es
expériences. Créations. essais
www.lexces.net
interventions. projets collaboratifs :
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 9Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 8
Février- Aout 2008. Résidence - Intervention : « Club des
Explorateurs Impromptus »
Partenaire : C.A.S.A. Collectif d’Action des Sans Abris, CHRS.
Avignon.
Février 2010. Work shop Ecole Supérieure d’Art de Grenoble:
vidéo-installation « i t i ni r e r »
Partenaire : La maison d’édition d’idées. Grenoble.
Mars 2008. Work shop Ecole Supérieure d’Art de Grenoble :
Expédition: «De la dérive à la Déroute»
Partenaire : Ecole d’Architecture de Grenoble.
Octobre 2010. Exposition-Rencontres: «Invitations/POST OFF»
au LAA
EXPOSITIONS. PERFORMANCES. SEMINAIRES :
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 10
Juillet 2010. Installation vidéo : « Paysages Limites »
Partenaires : « Cap de Villa » Groupe d’Entraide
Mutuelle_G.E.M. Avignon
Juin 2010. Exposition « La fuite du paysage, envers des villes
«Galerie du Brise Glace «BaraGe»
Mars 2010. Séminaire mobile Art & Social: « Constellations
urbaines ».
Partenaires: LAA-Bifurk, Réseau des Associations sociales de
Grenoble, Réseau Post O,
Ecole Supérieure d’Art de Grenoble
Aout 2009. Programmation vidéo et cinéma expérimental : «
CIN AIR O CIN O MA »
Festival Envirhonnements partenariat Cie Ilotopie. Port-
Saint-Louis du Rhône.
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 11Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 10
Aout 2008. Performance : « SAFARI »
Partenaires: C.A.S.A/ CHRS. Festival d’Avignon O. Avignon.
Décembre 2007-janvier 2008. Aout 2008. Performance- Ex-
position
« O.F.N.I : Objets Flottants Non Identiés »
productions :
Photographies :
« Conquêtes de fortune : Objet Flottant Non Identié » 5
tirages argentiques sur plaque alluminium (80/60cm) , 2008.
Vidéotape/ Documentaires :
«Partition» co-production KingdomProduction (en cours)
55min
«VidéoMaton» co-production C.A.S.A 10x2min.
« Les Zones Analogues » 40 min
« Romantisme = Sublime = Vertige = Trébucher » 33 min
« i ti n é r e r » co-production ESAG 17 min
« Constellations Urbaines, un colloque mobile à pied entre
Art & Social » 65 min
« 5 autoportraits marchés / Club des Explorations vidéo »
5x5 min
PUBLICATIONS :
Journal/affiche :
« CASA PARADISO », 2012.
« Le Draco, Envers des Villes », 2010.
« Les zones analogues : Bases Flottantes, Terrestres Aérienne
Temporaires », 2008
Journal :
« Constellations Urbaines. POST OFF », 2010.
Laboratoire d’Art d’Aujourd’hui 12
Auteurs des cartes
Usagers des structures sociales et des Envers de ville.
Partenaires Sociaux
Le Fournil
Point d’Eau
La Maraude
Lassociation ex.C.es a bénécié d’une résidence à Point d’eau et au Fournil et d’aide
à la production artistique _ département Culture et lien social du Conseil Général,
département Programme de soutien Artistique en Amateur de la Ville de Grenoble
et Fonds d’Innovation Artistique et Culturelle en Rhône-Alpes (FIACRE) - Volet
médiation culturelle.
changement d’horaires :
du mercredi au samedi de 14h à 19h
Laboratoire d’art d’aujourdhui
Association La Bifurk
2 rue Gustave Flaubert - 38000 Grenoble
04 76 23 57 00 -
mail : laa@bifurk.com
http://www.labifurk.org
Direction : Naïma Saket
Médiation et coordination artistique : Sarah Babin